Présentation
C.G. Simonds dresse de très hautes sculptures monumentales dans l’espace. Américain né en 1939, il partage son temps entre la Californie et la Nièvre
« C. G. Simonds aime les « jeux sérieux » dont parle Platon. Avec une dialectique narquoise, il unit des éléments dissemblables en un montage, en un défi. Il tord le métal et (aussi) la pensée ; il les courbe ; il les cintre ; il les torsade ; il les force ; il les gauchit ; il imagine des nœuds étranges, des tresses , des antennes d’insectes, d’immenses spirales qui roulent sur la pelouse et s’immobilisent, des creux. »
(en italiques, extraits du texte de Gilbert Lascault qui figure au catalogue publié à l’occasion de l’exposition de Cormatin )